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Fresque du bi-centenaire
à
Albi (81)
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Autres petits patrimoines dans le département
81 (Tarn) |
A Rabastens, Notre Dame du Bourg.

A Rabastens, Hôtel de Rolland.

A Rabastens, Mairie.

A Rabastens, Grenadier ?

A Rabastens, Eglise Saint Pierre des Blancs.

A Lisle-sur-Tarn, Place centrale de la Bastide.

A Lisle-sur-Tarn, La fontaine sans...Griffoul.

A Lisle-sur-Tarn, Notre-Dame de la Jonquière.

A Lisle-sur-Tarn, Raymond Lafage.

A Gaillac, A ses enfants morts pour la France et la défense de la paix.

A Coufouleux, Eglise Saint Victor de la Souque.

A Gaillac, Le violoncelle.

A Carmaux, Rex ou Parex ?

A Montdragon, Castel d'Argon.

A Carmaux, Cercle des Travailleurs.

A Montdragon, "pied de mulet" sur piliers.

A Carmaux, Saint Privat.

A Carmaux, Mairie

A Carmaux, Centre culturel J.B. Calvignac.

A Montdragon, Eglise Saint Pierre.

A Monestiés, Porte de Candèze.

A Monestiés, Puits couvert.

A Cagnac-les-Mines, Lavoir du chemin de la Fontaine.

A Monestiés, La "Directe".

A Mailhoc, Eglise Saint Eloi.

A Mailhoc, Château 13ème siècle.

A Graulhet, Marine tarnaise...

A Graulhet, Rue médiévale.

A Graulhet, Pied de mulet pour colombidés.

A Saint-Juéry, Vestiges d'un castrum.

A Graulhet, Mégisserie conservée et transformée.

A Graulhet, Caisse d'Epargne.

A Albi, Fontaine-lavoir de Verdusse.

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Département : Tarn
Arrondissement : Albi
Canton : Albi-Ouest
GPS :
43.9283 N /
2.1404 E
Rubrique : Art - Autre
Code postal : 81000
Date de dépôt : 16/03/2011
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La fresque murale, située à l'angle des rues du Paradis et Catalane, a été réalisée en 1989, à l'initiative de l'association du quartier, par Didier Van Hullebus, pour célébrer le bicentenaire de la révolution, mais aussi le rattachement du quartier du Castelviel à Albi, intervenu après le nouveau découpage du territoire établi par l'assemblée constituante en 1790.
L'artiste a décliné l'allégorie révolutionnaire en y associant des figures historiques du quartier du Castelviel.
cette fresque a deux particularités :- elle représente un café disparu en 1970, qui était connu au 18è pour être un lieu de "perdition" dans le quartier chaud à l'époque bien sur !
la deuxième curiosité c'est une erreur de cocarde. A l'origine les peintres ont malencontreusement confondu la cocarde française et anglaise, lors de la restauration en 2007 l'atelier des polychromies appliquées de Mazamet a conserver cette "coquille" Numéro du petit patrimoine : 81004_10
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