Rechercher d'autres petits patrimoines - Page précédente Tweeter
Casesnoves
à
Ille-sur-Têt (66)
|
|
Autres petits patrimoines dans le département
66 (Pyrénées-Orientales) |
A Ille-sur-Têt, Sant Esteve del Pedreguet

A Campoussy, L'église Sant Esteve

A Vivier (Le), L'église Sainte-Eulalie

A Sournia, La grotte du Ménié

A Mosset, Eglise Saint-Julien et Sainte-Basilisse

A Bourg-Madame, L'église Saint-Romain de Caldégas

A Bourg-Madame, L'église Saint-Martin d'Hix

A Bourg-Madame, L'église paroissiale Saint-Martin de Bourg-Madame

A Saillagouse, L'église Sainte-Eugénie

A Sournia, L'église paroissiale de la Nativité de Notre-Dame

A Campôme, L'église Sainte-Marie ou Nativité de Notre-Dame

A Conat, La chapelle Sainte-Marguerite de Nabilles

A Campôme, L'ermitage Sant Cristau de Fornols

A Mont-Louis, L'église Saint-Louis

A Vinça, Sant Pere de Belloc

A Égat, L'église paroissiale Saint-Etienne

A Angles (Les), L'église Saint-Michel ou "cathédrale du Capcir" Extérieur

A Angles (Les), L'église Saint-MIchel - Intérieur

A Llagonne (La), L'église Saint-Vincent

A Font-Romeu-Odeillo-Via, L'ermitage Notre-Dame de Font-Romeu

A Font-Romeu-Odeillo-Via, Le calvaire

A Olette, L'église Saint-André d'Evol

A Eus, La Chapelle Saint-Vincent d'Eus

A Eus, Eglise Saint-Vincent d'en Haut

|
Département : Pyrénées-Orientales
Arrondissement : Prades
Canton : Vin
GPS :
42.6634 N /
2.5841 E
Rubrique : Religieux - Eglise ou chapelle
Code postal : 66130
Date de dépôt : 07/02/2007
|
Sur la rive gauche du Têt, à 2 kilomètres en amont d'Ille, s’élèvent les ruines du village qui fut Casenoves. Son nom est cité dans le document de 1173 dans lequel Alphonse d’Aragon fait défense au petit nombre d'habitants de Casenoves, de persécuter la communauté de Régleille. Le dénombrement de 1351 lui attribue 5 feux. Néanmoins des structures défensives analogues à ceux de Régleille, avaient été construites pour protéger le village qui, par sa situation, était exposé aux incursions des pillards. L'église de Casenoves était consacrée aux saints Just et Pasteur. En 1644 le village semble entièrement abandonné, soit par suite des événements militaires de 1640 qui affectèrent particulièrement cette région, soit comme le dit la tradition, que la peste de 1632, particulièrement meurtrière, ait décimé tous les habitants du village. Il reste aujourd’hui, caché dans la verdure en pied de falaise dans les rangs de vigne, une sympathique petite romane qui monte la garde sur d’énigmatiques ruines de galets, disputant aux arbres multi-centenaires une place au soleil. Domination que prétend toujours posséder la tour de défense encore debout. Numéro du petit patrimoine : 66088_2
|