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Le Temple et l'Eglise de l'Espérou
à
L ESPEROU (30)
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Autres petits patrimoines dans le département
30 (Gard) |
A Corconne, L'Eglise Saint-Étienne

A Saint-Hippolyte-du-Fort, L'Eglise de Saint Hippolyte du Fort

A Castillon-du-Gard, La chapelle Saint Christophe

A Remoulins, Notre Dame de Béthléem et la Tour dite "des Gardes"

A Villeneuve-lès-Avignon, Collégiale Notre Dame de Villeneuve-lez-Avignon

A Valliguières, L'église Saint-Julien de Brioude à Valliguières

A Castillon-du-Gard, L'église Saint-Christophe

A Villeneuve-lès-Avignon, Les 13 niches de Villeneuve lez Avignon

A Pouzilhac, La chapelle Saint Privat

A Milhaud, MIHAUD du Gard, le temple.

A Gallargues-le-Montueux, L'Eglise Saint Martin à Gallargues-le-Montueux

A Gallargues-le-Montueux, Le temple protestant de Gallargues le Montueux

A Saint-Victor-la-Coste, L'Ermitage de Mayran

A Uzès, L’ église Saint-Géniès à Uzès

A Barjac, Eglise Saint Laurent à Barjac

A Vigan (Le), Eglise Saint-Pierre du Vigan

A Pont-Saint-Esprit, L'Eglise Saint Saturnin - extérieur

A Pont-Saint-Esprit, L'Eglise Saint Saturnin - intérieur

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Département : Gard
Arrondissement : Vigan (Le)
Canton : Valleraugue
Rubrique : Religieux - Eglise ou chapelle
Code postal : 30570
Date de dépôt : 09/05/2012
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En montant vers le Mont Aigoual, un des sommets du Gard et station météorologique, vous ne pourrez pas manquer de passer à l’Espérou (1230m), hameau de Valleraugue, connu des randonneurs et marcheurs amoureux du Parc des Cévennes. D’ici, les skieurs, eux, se rendent à la station de Prat-Peyrot Au milieu des maisons se dressent un Temple et une Chapelle dédiés aux deux religions présentes dans les Cévennes. Le Temple fut construit entre 1901 et 1905 sur un terrain offert par Léon Teissier du Cros et aujourd’hui l’Association Culturelle Protestante de l’Espérou gère l’édifice. Quant à l’Eglise, elle est reconstruite en 1868 et reçoit, à la demande des Chanoines de la Collégiale de Notre-Dame de Bonheur (le nom du ruisseau qui coule sur le plateau) qui l’ont fondée au XIIe pour secourir les voyageurs égarés, le vocable de Notre-Dame de Bonheur. L’église fut le but de la vie du Père d’Alzon, qui en fit un lieu de pèlerinage au XIXe pour lutter contre la maladie du ver à soie qui détruit les élevages dans les magnaneries, nombreuses dans la région et souvent, seules sources de travail. N’hésitez pas à vous arrêtez un moment ! Numéro du petit patrimoine : 30900_4
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