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Le théâtre Jean Vilar
à
Saint-Quentin (02)
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Autres petits patrimoines dans le département
02 (Aisne) |
A Gouy, La source de l'Escaut

A Château-Thierry, Le jardin des Petits Prés, des siècles de fêtes et de plaisirs.

A Château-Thierry, Le soldat du Monument aux Morts de Château-Thierry

A Château-Thierry, Les sculptures du jardin des Petits Prés

A Saint-Quentin, Le Petit Saint Quentin

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A Laon, Les tombeaux médiévaux de l'église Saint Martin

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A Saint-Quentin, A St Quentin, l’Art déco à la poste

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A Wimy, Balade Wimy-la-Rouge : Église St Martin (extérieur).

A Wimy, Balade Wimy-la-Rouge : Église St Martin (intérieur).

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A Nouvion-en-Thiérache (Le), A l’Astrée, la vie intime des arbres du lac de Condé.

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A Wimy, Balade à Wimy-la-Rouge : Le lavoir.

A Saint-Michel, L'Abbaye de Saint-Michel en Thiérache

A Saint-Quentin, Art nouveau et Art déco rue Raspail et Adrien Nordet

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A Plomion, La redoutable église fortifiée de Plomion

A Château-Thierry, Représentation visuelle des fables de La Fontaine

A Marigny-en-Orxois, En Omois, des halles du 17ème siècle.

A Plomion, La Halle de Plomion

A Guise, Le monument à la gloire de la 5e Armée

A Soissons, Le monument aux morts de la Grande Guerre

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A Bohain-en-Vermandois, La fontaine au Lion...cloné

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Département : Aisne
Arrondissement : Saint-Quentin
Canton : Saint-Quentin-Sud
GPS :
49.8463 N /
3.2871 E
Rubrique : Bâtiment - Public
Code postal : 02100
Date de dépôt : 30/09/2011
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Sur la place de l’hôtel de ville, le théâtre municipal de Saint Quentin a pris le nom de Jean Vilar en 1991. Sur cette place une première salle en bois est construite par le directeur d’une troupe de comédiens en 1742. En 1774 la ville y élève un théâtre à l’italienne à la place de la Halle aux laines et du corps de garde de la milice bourgeoise. Il est remplacé par le théâtre actuel en 1842 et nécessite la destruction de l’hôtel du Cornet d’or, de la maison de l’Ange et de la grande halle aux poissons. Il fut construit en même temps et sur le même plan que le théâtre de Caen par l’architecte Emile Guy et son jeune confrère Savary. En 1852, on doit la façade néo-classique à un artiste parisien, Matagrin, aidé par un jeune Savoyard, Cléron. On y voit une allégorie de la Renommée encadrée par les muses de la Tragédie et de la Comédie, Melpomène et Thalie. En 1881, des travaux permettent d’améliorer considérablement le confort et la sécurité. En 1898, les travaux sont consacrés à l’embellissement du lieu. En 1921, c’est un artiste local qui peint pour le plafond une toile représentant la ville de St Quentin renaissant de ses cendres. Jusqu’en 1914, on y donne une représentation quotidienne en saison et on y joue à guichet fermé. Les membres de la troupe d’opéra sont reçus et jugés par le public. L’orchestre est réputé et ses 40 musiciens payent pour en faire partie. Numéro du petit patrimoine : 02691_7
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